Lundi 31 mars 1 31 /03 /Mars 22:26
Parlons de M. tout d'abord, la merveilleuse, qui un soir me prépara une surprise.
Notre relation était sur la fin mais comme tous les amants merveilleux l'entente des corps était si puissante que malgré le bruit et la fureur nous nous retrouvions toujours  passionnément.
Ce soir là donc...
Arrivé chez elle sur le pas de la porte elle me bande les yeux.Si vous aviez connu M. vous n'auriez pas été rassuré mais je me suis laissé faire...
Une odeur d'encens flottait dans son minuscule studio, elle me guida jusqu'au fauteuil et m'y poussa avec son éclat de rire si particulier.Celui qui vous fait sentir que vous êtes face à une prédatrice.
Posé , stable sur le fauteuil, j(entends un briquet scratcher, un bruit d'aspiration, elle s'approche de moi et glisse entre mes lèvres le filtre d'un pétard, elle me connaît bien.
Léger glouglou d'une bouteille, je sens l'odeur d'un cognac, elle approche le verre et je prends une gorgée.
D'une main elle caresse mon pantalon à l'endroit stratégique.Mon érection est maintenant conséquente et elle commence à dégraffer mon pantalon et a me l'enlever frénétiquement.Une fois libéré , elle empoigne mon sexe , le branle consciencieusement en le léchant, je rejette ma tête en arrière et me laisse aller, à sa merci.Elle s'active très longuement entre mes cuisses mais je sens quelque chose d'étrange , une situation en évolution, comme une présence autre, et soudain je comprends, elles sont 2.Je tends le bras vers la droite du canapé et rencontre une masse de cheveux, je redescends vers la nuque et la saisissant, amène cette inconnue vers mon entrecuisse.
M. lui passe le relais tout en maintenant mon sexe sérré dans sa main, elle guide sa copine et lui tient la tête ne même temps.
Je n'en peux plus et arrache mon bandeau.Ce n'est pas une inconnue,F.Ancienne co-locataire de M. j'avais déjà senti que je lui plaisait.
Imaginez, 2 filles a la peau très pale, presque laiteuse, l'une blonde avec des grains de beauté partout, et l'autre rousse,diaphane , yeux verts pétillants.
Je passe le joint à M. et commence a ôter mon t-shirt.Je caresse les filles, mes mains sont partout à la fois, je titille les tétons de l'une tout en branlant le clitoris de l'autre.
M. est très humide comme d'habitude et son clitoris est si enflé que j'ai envie de la sucer.
Elle se redresse, se met devant moi, tend son bassin en avant et me m'offre sa vulve épilée.Délicatement entre mes lèvres je commence à sucer son clito, exactement commme une petite bite, elle tient ma tête et se conduit comme un mec...

F. s'active comme une goulue sur mon sexe ,et je me débrouille pour placer ma main sous sa fente que je caresse à l'aveugle, elle est trempée et très ouverte, j'ai déjà trois doigts insérés dans son sexe et je sens qu'elle est prête a plus que ça .
Une main sur les fesses fermes et tendues de M. l'autre dans le con De F. je suis un homme comblé. Je m'active comme un affamé sur le sexe de M. qui es de plus en plus gonflé.
Elle se penche et ramasse au sol un objet qui se trouve être un vibromasseur de bonne taille. Je la regarde, elle me lance son regard qui tue, éclate de rire à la vue de ma tête.
Elle le met en route et commence à se caresser les seins puis se penche sur F. et le lui passe sur le corps, en se dirigeant vers ses fesses.
Elle m'abandonne pour se placer derrière F. Je change de position , me met à genoux et laisse à M. le champ suffisant pour s'en occuper .
Je dégage doucement les cheveux de F., elle est très belle, et c'est un magnifique spectacle que de regarder M. lécher le cul de F. qui me suce comme une reine.
Je vois M. glisser le vibro sous F et j'appuie ma main droite sur les reins de F. prêt à la forcer à s'empaler dessus, ce qui ne tarde pas. Elle lâche quelques instants ma bite et je vois son regard embué de plaisir. Quelques gémissements et elle se jette à nouveau sur mon sexe comme pour se rassurer.Je la maintiens enfoncée sur le god et relâche ma pression puis la force a nouveau.
Je vois M. disparaître a nouveau derrière le fauteuil et elle en émerge avec cette drôle de ceinture qu'elle commence à ajuster.Sa cambrure est accentuée par le harnais, sa peau ressort plus contrastée et cette vision m'émeut (oui c'est le mot).
Elle est belle, elles sont belles, nous sommes beaux.
Une fois harnachée je la vois enfiler une capote sur le membre de latex couleur chair et le lubrifier consciencieusement.
Elle s'approche des fesses de F. les prends fermement entre ses mains , frotte son truc pour faire un peu le passage, le prend dans sa main et commence a travailler l'anus de F.
FLAH BACK 1
Il faut que je vous raconte avant de continuer , ce que m'a dit F. la 1ere fois ou je l'ai enculé.
Prévenant, ne voulant pas lui faire mal,( j'avais prévu du lubrifiant, elle m'avoua par la suite que j'avais raison que c'était mieux qu'a sec!), je lui ai demandé avant d ela prendre sans trop y croire si elle voulait que je reste dedans ou si elle préférait des gros allers retours;
Elle ,s'est retournée vers moi, elle était déjà prête et m'a dit, en se passant la langue sur les lèvres:AH OUI DES GROS ALLERS - RETOURS!!!

J'ai su en la voyant faire que F. allait en prendre plein le cul et que quand je m'y placerai le chemin aura été fait.
Elle va la baiser comme elle se fait baiser, comme une chienne!

ça ne rate pas, F. se cambre et d'un coup de rein M. insère gland de son outil et commence a tourner l'engin.  Cette fille semble a l'aise avec une bite et est un amant sauvage.F. se concentre sur son plaisir, se cambre et cherche à faire rentrer le god + profondément, je change de position pour pouvoir mieux insérer celui qui est sorti de sa chatte, je le retrouve vibrant tout seul, et je le lui remets , après avoir vérifié qu'elle était suffisamment mouillée.Le passage est un peu + difficile parce que M. s'active sauvagement derrière elle et la pénètre de + en + profondément.
je me caresse excité à la vue de ces 2 nanas qui n'auraient pas besoin de moi.
Je me place derrière M et elle comprend ce que je veux.
Elle écarte une de ses fesse tout en continuant son ouvrage et je commence à la lécher de ma langue agile, elle est de toute façon déjà ouverte et dilatée; l'excitation est a son comble et la chambre est emplie de bruits et d'odeurs qu'on trouve normalement dans la jungle équatorienne.
 Je bande comme un cerf et les mouvements de ses reins m'excitent j'ai envie de la prendre et ne me gêne pas.
M. stoppe légèrement ses va et vient le temps que je la pluggue .
Elle m'a souvent dit que j'étais un amant exceptionnel et que je n'avais rien a envier à son précédent amant, un black bien monté visiblement.
Elle se retourne vers moi, éclat de rire, saisit ma verge en me disant:
Il y a toujours un passage difficile mais une fois que c'est rentré...
Et je pousse et d'un coup de reins je suis en elle.Je l' aggrippe par la taille et elle recommence à bourrer F. qui se pâme et devient folle . J'accompagne M . dans ses mouvements, la suivant pour ne pas être éjecté, je suis tres dur a l'intérieur  d'elle et leurs culs sont magnifiques.
J'ai envie de prendre F.
Elle a l'air de tellement apprécier que j'ai aussi envie de l'honorer,; je le fais comprendre a M. qui me cède la place et se retire dans un plop.
Elle tient les fesses de F. pour que l'anus reste bien distendu et j'y entre comme à la maison , d'un coup , tout au fond, je me sens tout a fait à l'aise.
Je sais déjà ce que va tenter M.
Je la connais bien tout de même et sais qu'elle ne rate jamais une occasion.
F. se masturbe avec le vibro sur le clitoris et elle est dans un état de jouissance perpétuelle, je sens que des vagues de plaisir l' inondent incessamment.
M. est maintenant derrière moi, me caresse les fesses et l'anus , puis je sens qu'elle me met un doigt...
Miaouh...
Puis 2, et elle s'active, j'ai du mal a me concentrer je ne sais sur quel plaisir me focaliser, j'ai envie de m'ouvrir + et d'écarter les fesses mais je suis en train de m'occuper de F.
Je m'enfonce alors au + profond d'elle, passe mon bras sous son ventre, la ramène a moi, prend ses cheveux, et la serre très fort, tout en me positionnant pour apprécier l'intervention de M.
Elle ne rate pas l'occasion et commence a me fesser en utilisant les 24 cm qui pendent entre ses jambes.
Le frottement m'excite et je m'ouvre +, je me retourne vers elle et lui fait comprendre qu'elle peut y aller.
Ouch! J'ai envie, mais c'est très douloureux, je suis vierge n'est ce pas. Les doigts passaient bien mais le gabarit et la matière de l'outil font qu'il y a problème, la douleur m'a fait débander a moitié mais je suis encore planté dans F.
M. voit bien que ça ne passe pas et n'insiste pas.
Elle se penche sur moi, viens a mon oreille, me mordille le lobe tout en me sussurant:
"je vais bien te préparer et après tu seras comme moi, tu ne pourras plus t'en passer."
Elle  me replante ses 2 doigts et nous reprenons tous nos ludiques et  plaisantes activités.

Dans le miroir, cette étrange image, ce sandwich improbable, ces 2 corps blancs et diaphanes, presque angéliques, ces 2 blondeurs, accouplées avec moi, sorte de mini hercule poilu du sud. Tarte au poils!
C'est beau!

Petit a petit j'arrête de m'activer pour me concentrer sur ce que me fait M.
Je pousse mes reins en arrière pour en recevoir plus et mieux et je sens que ma position lascive l'excite.
F. se retire et commence a me branler tout en continuant a se masturber.
Je suis a leur merci et je sais que ça va être mon quart dheure.
M. la perverse s'empare du vibro, un modèle en latex bleu, vibrant et commence à le passer entre mes couilles et mon anus .
Délicieuse sensation, on ne sait quand ça va arriver mais on sait que ça va arriver.Je sens un liquide frais couler sur mes fesses, M m'enduit de lubrifiant et je me sens me dilater, elle en profite pour introduire je ne sais combien du vibro et je jouis immédiatement. Je m'accroche a la nuque de F. et elle m'embrasse fougueusement puis descend vers mon sexe et s'occupe de me faire bander.
M. est en train de me goder doucement mais copieusement, je vois dans le miroir les lents et profonds allers retours et sa langue passe sur ses lèvres comme pour accentuer son désir.
Je me sens prêt maintenant.
J'ai envie de m'assoir sur elle, je le lui fait comprendre et elle me saisit les fesses en les écartant tandis que je m'approche du monstre.
Je m'assois doucement dessus en me tenant une fesse, cette situation est jouissive,  excitante.
Ces 2 filles se sont mises d'accord visiblement et le scénario se déroule comme prévu.
Une fois bien pluggé F. se relève, M m'entoure le torse de ses 2 bras et F. se positionne et me présente sa magnifique croupe blanche.
Elle guide mon sexe vers sa vulve, frotte le gland entre ses lèvres pour faire le passage et elle m'enfourche.
Je tiens ses hanches et nous unissons tous les 3 nos mouvements pour être ensemble.
Mes mains sont partout, elles volètent de ses tétines roses, a son clito, je passe aux fesses de M., dos, cheveux, tout est plaisir et sensualité.
Je ne  sais plus combien de temps ça a duré, mais au bout d'un moment nous nous sommes allongés, plantés les uns dans les autre et nous avons somnolé en se caressant doucement.

Par le nouveau marquis
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 19:52
La party 1

La petite fenêtre s'ouvre dans la porte de bois massif,rouge, vernissée, ferronneries apparentes.
Il fait moite dans la ruelle, et j'ai tourné dans la Médina pendant quelques dizaines de minutes avant de trouver le passage.
La ville orange a finit par m'avoir.
2 mois que je suis installé ici, pour encore 2 mois, et hier soir, cette carte glissée dans mes mains, cette invitation.
Il faut que je récapitules , c'est embrouillé dans ma tête, le haschisch est bon ici.

Hier soir, donc...party privée.

Ma 1ère depuis que je suis arrivé, j'ai toujours décliné les invitations jusque là, trouvant des prétextes, préférant passer mes soirées sur ma terrasse à siroter des bières, lire, regarder les étoiles. Mais je ne sais pas, cette fois - là, j'ai accepté d'aller à l'ouverture de cette boîte de nuit en plein air, 3 piscines, 4 dance - floor,2 restaurants, 12 bars et je ne sais quoi en plus.
"Il y aura plein de nanas Discovery, viens t'aimes les nanas, Discovery."
Mes potes B. et F. se foutent de moi depuis 2 mois parce que je ne vais pas aux putes.

Nous partons en bande. A. et V. en couple, B. et F. potes alcolos, M. une gérante de ryad (la quarantaine,blonde, encore petite fille dans ses attitudes, petite et galbée) que j'avais croisée quelquefois dans le microcosme des expatriés.

Arrivée après 1/2 heure de route, la boite est située dans les hauteurs, il fait à peine plus frais.
Effluves de parfum, toilettes de lin blanc.
je m'étais mis sur mon trente et un. Pantalon de lin large, ou je peux fourrer mes mains dans les poches, chemise blanche de lin, le tout légèrement froissé, Tout simplement parce que je m'en fous.

En contrebas, la ville orange, devant nous 2 mecs déguisés en Spirous nous ouvrent le chemin en portant des torches enflammées, c'est fluide comme d'habitude. Avec A., les portes s'ouvrent comme par magie, il connaît tout e monde, il sait toujours ou aller, qu'est ce qui se passe, ou ça se passe, ou il faut être...

Tout de suite bar buffet.
Ils attaquent direct les cocktails, je prends une bière, le serveur me matte comme un martien. Rien à foutre, on s'est fait un énorme pétard avant de partir et je suis coolissime.

On se pose avec B. F. et  M. Je sais que B et F ont l'intention de chauffer M.
ça les fait marrer et c'est vrai qu'elle est réactive et qu'elle a de la répartie.

Je les lâche quelques dizaines de minutes + tard pour aller faire le tour des 4600 m2 de boite de nuit.
Il n' y a pas beaucoup de monde, nous sommes arrivés tôt , ceci n'étant qu'une des étapes prévues pour la soirée.
Je longe une piscine, 1 bar, ou des couples discutent et rient, une sorte de petit tunnel devant moi, je m'y introduit, les murs sont recouverts de mousse humide, l'éclairage est doux et une légère brumisation me rafraîchit durant ma translation latérale, je ferme les yeux pour mieux sentir la fraîcheur sur mon visage.

Boum, un obstacle, je bute de front sur un corps humain, chaud, doux, sent bon.
je perds à moitié l'équilibre , j'étais en plein cosmos magique et me voilà obligé de redescendre en procédure d'urgence.
Je fais le point et devant moi, cette brune , à la moue de sauvageonne, teint mat,qui remet ses cheveux en arrière tout en tentant d'essuyer la mini tache de bière sur sa robe moulante.
Elle relève son visage vers moi, se redresse, s'approche en se déhanchant, fais effectuer une rotation à son mini sac à main, pour le placer sur ses reins et m'enlace!
Je passe mes mains sur ses hanches, ses fesses fermes, suit le contour du string et dirige mon doigt léger vers son sexe.
Je passe mon avant - bras entre ses cuisse en me baissant légèrement avec l'intention de la soulever pour l'emporter ainsi vers un bosquet, ou un coin + sombre.
Et je sens.
je sens que contre sa cuisse est ficelé un gc, elle porte un harnais et le GC est ficelé comme une arme, prêt à être dégainé.
Léger arrêt mais je continue sur ma lancée tout en l'embrassant, 2 ou 3 tours sur moi - même et nous nous retrouvons plus discrètement installés.
Je m'agenouille devant elle et fourrage sous ses jupes, sa tête est jetée en arrière et elle me maintient a travers le tissu, je lèche à la fois le sexe attaché à sa cuisse et ses lèvres auxquelles je peux accéder par une fente dans le slip..

Des bruits de pas et de conversations se font + présents. Je la sens inquiètes tout d'un coup, elle me force à se relever, me dit à l'oreille:
Je ne peux pas maintenant, je suis accompagné.
Failli lui répondre, t'inquiètes pas c'est l'histoire de ma vie.
Et elle me glisse la carte dans la main, accompagnée d'une pression du bout des doigts et d'un
Demain...
Plein de promesses.
Et je la regarde courir dans le tunnel de mousse.
Contre - jour.
Fin de séquence.
Noir.


La porte s'ouvre en grinçant. je tiens la carte dans mes miens, velin d'arches, gauffrage léger et sur impresion dorée: le club des 3 et l'adresse dans la Médina.
Qu'est ce que je fous là?
La fraîcheur typiques des halls de ryad se saîsit, je frissonne, lumière douce,bruit d'une fontaine qui coule , classique, odeur de roses et de propreté, normal.
Je ne sens pas particulièrement de mauvaises ondes dans le lieu et mes antennes reprennent leur place.
Tranquilles les antennes.
Le gros moustachu, au regard bridé devant moi me débarrasse de ma veste et d'un signe m'indique la direction à prendre.
Antichambre tadelactée, avec meubles inclus a la maçonnerie, très doux au toucher, velouté sensuel, j'adore l'art de vivre dans ce pays, et ce confort presque troglodyte est un plaisir quotidien.
Je comprends que je vais avoir droit à une séance de récurage, je me déshabille, me drape les reins d'une serviette blanche et passe le rideau face à moi.
Couloir qui m'oblige à me baisser légèrement, bougies au mur, photophores au sol, l'ambiance est magique et légèrement angoissante.
Je sens des effluves de chaleur et de vapeur et j'entends des bruits d'eau.
Je débouche enfin dans un espace plus dégagé et suis accueilli par un servant vêtu de blanc qui me mène vers une alcôve. Au passage, je note que les alcôves sont nombreuses que des bruits étouffés en sortent, l'odeur d'encens m'enivre et j'ai l'impression de perdre pied.Il tire le rideau et me laisse le passage
La magnifique m'attend, les yeux baissés.La pièce est vaste , au fond un bain à remous gigantesque, creusé à même le sol. Entre la magnifique et moi un "autel" sur lequel je m'assois, elle commence à me laver en silence, savon noir, gant de crin, elle fait ça par doux mouvement circulaires.Sa chemise de soie, d'une coupe simple, mais très seyante, est de plus en plus trempée et je vois ses tétons pointer. Une légère érection se produit en même temps qu'une douce chaleur emplit mon ventre.
C'est le moment qu'elle choisit pour laver mon sexe en l'enduisant de savon.
Elle me branle en me lavant et je deviens immédiatement très dur.
Me tenant par la verge elle me mène jusqu'au bain , se saisit d'un seau en fer martellé, prend de l'eau et me rince, toujours en me tenant par le sexe.
Elle entre dans le bain, et m'entraîne à sa suite. Une fois entré, elle relève sa chemisette, et me montre l'outil qui se trouve entre ses jambes avec un sourire malicieux et une flamme de vice dans le regard.
A reculons, ses yeux plantés dans les miens elle va + loin dans le bain et s'assoit au fond, en me faisant signe de la rejoindre.
Je suis debout devant elle maintenant et soudainement elle engloutit mon sexe et commence à me sucer en passant ses mains sur mon torse. Puis une de ses mains se dirige vers mon trou  qu'elle écarte doucement et elle m'introduit 2 doigts experts. Je gémis de plaisir et je sens quelques gouttes de sperme partir dans sa bouche.
Spasmes.
Elle tourne furieusement ses doigts en moi et je jouis une première fois , elle retire ses doigts qui sont trempés, me prend les hanches me fait comprendre que je dois m'asseoir sur elle, d'une main elle maintient le GC dréssé et de l'autre elle me dirige en me maintenant le bas du dos.
Je suis tellement excité et ouvert qu'une fois le gland passé, je m'assois sur elle complètement et elle me remplit entièrement.
La chaleur, la vapeur, elle derrière moi, me maintenant par les hanches, je vais défaillir de plaisir.Je tortille des fesses pour mieux le sentir et commence à effectuer des mouvements de pistons de bas en haut, puis elle me pousse, je me retrouve à a4 pattes, elle derrière moi, me donnant des coups de reins lents et profonds, retirant l'engin doucement pour me remplir ensuite complètement de nouveau.
Au bout d'une vingtaine de minutes et d'une dizaine d'orgasme, elle s'affale sur moi épuisée, et le gc se retire doucement.
Pause.
Ecran de vapeur,
fin de séquence.
Noir.

Discrètement un plateau chargé de thé à la menthe, de cornes de gazelles délicatement parfumées à la fleur d'oranger, de loukhoums s'était disposé près du bain. Déshydraté par l'effort je sers 2 thés, en tend un à la magnifique, dont l'un des bras est nonchalament posé sur le rebord du bain. Elle sourit mais son regard est posé ailleurs derrière moi, je le suis et découvre s'avançant vers nous deux autres femelles, évidement elles aussi armées. L'une est noire, sa peau est d'une couleur chocolat velouté, es cheveux sont courts et blonds platine et ses yeux verts de chatte me transperce le cerveau. L'autre est d'une blondeur angélique, elle porte un petit masque de dentelle et ses yeux bleus coquins me tancent de loin.
Elles entrent dans le bain et me proposent leurs engins à mettre en bouche , j'ai envie d'autres choses mais je m'exécute vous ne perdez rien pour attendre.
La magnifique se joint aux 2 autres et je comprends maintenant. Le Club des Trois.
Mes mains malaxent seins et fesses de je ne sais qui, les yeux fermés je suce et lèche, des rires étouffés et gloussements accompagnent le tout.
Je me relève et embrasse à l'arrachée celle sui se trouve devant moi, je l'attire à moi, passe mes bras entre ses cuisses, prend ses fesses dans mes mains , la soulève, elle s'accroche à moi, les 2 autres l'aident écartent ses fesses , prennent mon sexe et je l'empale d'un coup, profondément.
Son imposant GC me gène un peu mais je suis en furie je veux la baiser sauvagement.
Derrière la blonde, pointe son gode vers ses fesses, le lubrifie et commence a l'empaler par le fondement. Son étreinte se fait plus forte, je sess l'énorme GC passer et je calme mes mouvements me carrant bien au fond e peur d'être expulsé.
Elle gémit longuement la tête rejetée en arrière.
La magnifique s e positionne derrière moi, je savais que cette figure allait être imposée.
La blonde est moi nous activons dans peau de velours satinée, doucement, ce qui me permet de présenter mes fesses.
Je cesse de bouger au moment ou elle me pénètre me concentrant sur ce plaisir, et une fois tout les 4 bien enfilés nous recommençons a bouger, a l'unisson et de + en + fort, je bande comme un taureau malgré les coups de boutoir que je prends.

La position étant légèrement inconfortable nous nous dirigeons vers l"autel", blondie s'y allonge tandis que satinée monte sur elle et s'empale sans attendre sur elle, je me positionne derrière et prends sa croupe sans attendre tandis que la magnifique me prends avec ses doigts tout en me caressant les couilles.
Son cul est superbe et extrèmement accueillant, en longs allers retours je le travaille en n'oubliant pas d'aller m'empaler sur les doigts experts qui m'attendent.
Quelques instants plus tard la magnifique va s'installer sur le visage de blondie , elle a envie de se faire lécher et nous présente sa longue verge à sucer. Nous la partageons avec satinée et elle tellement excitée qu'elle la mordille et d'un coup je suis content d'être dans son cul. Je m'y insère encore plus profond de manière a pouvoir sucer en même temps. je sens que le raz de marée arrive, je le contient depuis tout à l'heure mais  je commence à être submergé.
Finalement, très vite j'explose et je vois les étoiles,un chien aboie, une cavalcade de chevaux éffrénés, un visage doux qui me sourit, c'est la lune qui se penche sur moi , accompagnée de 4 sapins à visage humain.
La prairie sur laquelle je suis allongée est fraîche, je le sens a travers mes vêtements.
Noir.

Sidi!Sidi!
La lune...non c'est un spot que j'ai dans la gueule...
Les sapins, les 4 visages d'enfants qui me secouent;
réveilles - toi sidi tu ne dois pas rester là, c'est dangereux sidi.
je suis dans la rue, des mots résonnent dans ma tête
Pour toi c'est gratuit, mais tu ne reviendras pas....
les enfants me mettent sur la direction de la place Djema Ef Na'a.
Je leur donne ce que j'ai dans les poches , c'est - à - dire une fortune, Ils s'enfuient en criant , heureux.
Je retrouve les bruits de la ville, j'entends le son des tambours au loin.

Par le nouveau marquis
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 18:27


Nani ima dooshita no?
ça y est c'est reparti, plus de métro, trop loin pour prendre un taxi, il est 3 heures du mat et je suis devant la porte du bar, à regarder Satchiko, Sayuri et Mari se prendre la tête sur la suite des opérations. Je suis vaguement la conversation.
En face de nous à une dizaine de mètres un yak fume sa clope se lissant ses cheveux gominés. Il a un costume de soie violette, une cravate vert fluo et des creepers jaunes. Ne pas le regarder de manière trop insistante.
Les filles se mettent à rigoler et Satchiko ma régulière, viens me prendre le bras, les 2 autres font mine de se battre pour me prendre le bras restant.
Yame daro!
Elles ont une idée en tête, je suis , après tout je ne suis qu'un gaijin san, perdu au milieu de Shinjuku.
Tokyo, vous avez vu Blade Runner, et bien voilà ne cherchez pas plus loin.
Un étrange mélange de modernité, avec écrans videos géants dans la rue, pub néons gigantesques, il ne manque que les vaisseaux spatiaux .

On oblique dans une petite ruelle, là je suis carrément paumé mais j'ai confiance dans mes 3 gardes du corps.
Il nous est déjà arrivés de nous mélanger à plusieurs reprises, à la japonaise, disons, sumimasen! doso!
une nuit notamment ou on a tous les 4 partagés la même couche, un peu dans les mêmes circonstances. Et je me suis retrouvé au petit matin avec 3 paires de main en train de me peloter, si vous voyez ce que je veux dire. J'adore leurs minois , leurs minis jupes et la manière qu'elles ont de se tenir. Entre grâce et déglingue totale.
ça y est pigé un love hôtel.
Ok maintenant il y en a pour 1/4 d'heure avant qu'elles se décident pour la chambre blanche - neige, années 50, ambiance Tarzan, 2001 odyssée de l'espace...

http://bp1.blogger.com/_8Y0T3EnBVPw/RnVPYg-gXHI/AAAAAAAAARQ/B3h2-TANeL0/s1600-h/love+hotel+rooms.jpg
http://sunboar.files.wordpress.com/2006/12/japanese-love-hotels.jpg

Elles se retournent vers moi, et comme une seule femme hystérique elles se mettent à hurler TARZZZZZZZZANNNNN!
Bon c'est une vanne elles se foutent de mes poils. Faut dire que ici au début, quand j'allais  prendre mon bain tous les soirs, j'étais l'attraction publique.
Pas méchants les mecs mais genre, oh la dis donc t'es un gorille toi!
Ils sont imberbes  et quand ils en ont 3 ils s'épilent!
A la piscine je me suis retrouvé avec une nuée de mômes autour de moi, ils avaient jamais vu un mec poilu.
Au secours!
Va pour la chambre Tarzan.
je sens que je vais grimper à la liane vite fait.
Sayuri et Mari vont chercher de l'alcool et des sushis et nous montons avec Satchiko, que je plaque contre la porte, immédiatement après l'avoir refermée et a qui je remonte la mini jupe pour aller vérifier quelque chose.
Rahh j'adore cette fille la moindre émotion la fait mouiller, son mont de vénus et clairsemé d'un fin duvet brun , ses seins sont minuscules mais ses tétons très durs et pointus.
Je les suce souvent et pendant des lustres.
Nous n'avons pas le temps d'aller très loin les filles reviennent et nous trouvent tous chiffonnés.
La chambre est cheap, 2 peintures pourries de jungle au mur, un lit ou 4 personnes peuvent s'allonger, 2 lianes qui pendent au plafond , une balançoire au - dessus du lit, peaux de bêtes synthétiques au sol, télé avec feu de bois, et couvre - lit sauce léopard, table basse genre tronçons de bois assemblés.
Nani sore!
Elles sont bien chargées je trouve et un de leur sac porte un logo que je reconnais immédiatement, elles ont acheté des toys. Dans l'autre, 4 bouteilles de Kirin, un bun de saké, 3 paquets de seven stars et  des take -away avec sashimis, sushis, tekkamakis.
J'ouvre les bières, fait le service, on s'assoit autour de la table, clopes, bière, sushis, dildos.
ça rigole bien .A la japonaise toujours la main devant la bouche. Elles  sortent l'outillage et je vois un double gode qui fait bien 30 ou 35 cm , jelly, rose, et un gc qui passe de main en mains et elles louchent dessus.Je me doute que ce n'est pas pour moi , visiblement Sayuri et Mari ont décidé de se faire un plan ensemble.Au minimum je vais me rincer l'oeil au maxi vous savez quoi et a mi - chemin le grand inconnu. les essayages commencent. Mari enfile le GC et se ballade moitié à poil autour de nous mimant, une sorte de strip, balançant sa bite dans la face de qui est sa portée. elle m'assomme à moitié avec son truc et je lui fous une claque sur les fesses. Satchiko est excitée et sa main se ballade sur mon sexe pendant que Sayuri me fait du pied sous la table en me regardant d'un air qui en dit long. Elle tient le double dong nonchalamment posé sur son épaule comme un animal de compagnie.
Je ne comprends pas tout ce qu'elles disent, mais suffisamment...
 
Mari s'installe sur la balançoire. Elle est bien saoule et titube. Gentleman je vais l'aider.
Alligato gosai masu, discobery san.
Je la tiens par les hanches et la pousse, Satchiko me fait la gueule.
Elle vient nous rejoindre, sur le chemin se débarrasse de son haut et de sa culotte, elle garde sa mini elle sait que j'adore quand elle est comme ça.
A ma grande surprise elle reste devant Mari, l'embrasse et commence à s'installer sur elle.
Des poignées prévues à cet effet l'aide à se maintenir et elle s'empale sur Mari qui est morte de rire.
Petits cris étouffés.
Je vois qu'elles n'ont pas vraiment besoin de moi, et je m'allonge sur le lit pour les regarder en me caressant.Sayuri vient m'y rejoindre et m'aide à me débarrasser de mes derniers effets et puis engloutit ma queue dans sa bouche . Quelle douce suceuse. Elle se caresse en même temps avec le dong et les 2 au - dessus de nous sont dans une partie de baise folle, de temps en temps je croise  le regard de Satchiko et je reconnais les signes de la jouissance. J'ai appris à ne pas être jaloux grace à elle.
Sayuri se redresse et je la vois écarter les cuisses, empoigner a 2 mains le dong, chercher le passage et s'empaler sur l'engin en fermant les yeux et en poussant un long gémissement. Elle se jette en arrière en écartant les jambes et me présente son sexe à perforer puisque le dong est dans son trou. Elle ne s'attend sûrement pas a ce que je vais faire, je saisis le dong, vérifie qu'elle est bien plugguée, je la lèche longuement puis je me redresse, l' enjambe a moitié et commence a m'asseoir sur le dong, Sayuri me branle.
Satchiko en est à son 2eme orgasme sonore ce qui signifie qu'elle en a eu au moins 4 discrètement.Mari s'acharne sur elle comme une dératée et semble prendre un pied mental monstrueux.
Les japonais sont des poètes je l'ai toujours dit, ils ont quand même inventé le bukkake! A l'origine cette pratique était plutôt dirigée vers les femmes adultères, celles qui avaient fauté se retrouvaient avec les mâles du visage qui venaient leur éjaculer à la face en signe de mépris, mais sous les cerisiers en fleur svp.

Pour ma part j'ai presque rejoint Sayuri qui me branle, se caresse en me regardant avec un regard halluciné, je lui titille les seins;
ii desu ka?
ii desu.
On se tient tout les 2 par la taille enfilés copieusement.
Satchiko, épuisée vient s'affaler preès de nous et caresse le dos de Sayuri,Mari vient au- dessus de nous et recommence son petit jeu avec la bite.
Elle est déchaînée ce soir et prête a tout.Je suce et je m'éclate. Comme ce n'est pas pratique, le dong sort et Mari en profite pour se placer derrière  moi, je tends mes fesses et elle me prend assez vigoureusement. Je plaque ma main sur son ventre pour calmer ses ardeurs, elle comprends et commence des lents allers retours comme j'aime bien.
Sayuri essaie d'insérer ce qui reste du dong dans son petit sexe que je vois dégoulinant d'une mouille claire.Satchiko est sur le ventre jambes écartées, visage retourné vers moi, et elle fait des petits mouvements avec son bassin.
Je plaque ma main sur le bas du dos de Mari pour lui signifier d'arrêter de me prendre et nous effectuons une avancée bancale vers ma douce qui relève les fesses.Je la pointe et la prend. Une fois en elle mon érection forcit et je sens ses spasmes vaginaux elle m'ensère la bite si fort que j'ai du aml à me retirer et que je force le passage au 2 ème coup. Elle jouit.Mari recommence à s'activer derrière moi,  Sayuri a laissé tomber l'idée d'une double insertion et elle tente de prendre Mari.Et réussit visiblement.
L'excitation est à son comble, je ne sais pas ou est Tarzan mais en tous cas les singes, les perroquets, les ouistitis, Cheeta et toute sa famille sont là avec nous.
 Je n'en peux plus je m'écroule sur Satchiko toujours en elle, offre mes fesses a Mari qui ne bouge plus et je sens le travail de Sayuri, j'ai l'impression d'être en éjaculation perpétuelle. Heureusement que je leur fournit des plaquettes de pilule.Je m'endors a moitié , remplit par Sayuri et puis je sens qu'elle se retire.
J'enlace Satchiko, remonte le léopard, j'entends Sayuri et Mari chuchoter, elles filent dans la salle de bain. Un bain commence à couler et je rêve que je suis au bord d'une étendue bleue azur.
 
Par le nouveau marquis
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